Clément Riot contera :
« Arbres voyageurs, hommes enracinés », pour défier l’hiver, une grappe de contes pour célébrer les arbres, la sève, les bourgeons, la vie; un rameau, une arborescence d’histories, mythes et légendes célébrant les relations des hommes et des arbres, proches et lointains – sapin, bouleau, chêne, frêne, tilleul, tremble, noyer … – ou même lointains, comme le baobab !… Mais ici, les hommes s’enracinent, les arbres voyagent et le doute nous prend : l’arbre nous parle de l’homme, mais l’homme parle-t-il de l’arbre ? (1h/1h10).
Patrick Brisset, avec son kamishibaï, contera :
« L’arbre aux diamants », un conte merveilleux d’origine marocaine : Nissim, son héros, parviendra t-il à vaincre la sorcière particulièrement susceptible et orgueilleuse à laquelle il est confronté ? (15mn)
Le kamishibaï est une pratique narrative japonaise très ancienne (8ème siècle). Elle nécessite un conteur et un butaï. Le butaï est une sorte de petit théâtre d’images. Le conteur raconte l’histoire et change les images au fur et à mesure de la narration. Depuis le milieu du XXème siècle, le butaï est couramment installé sur le porte-bagage d’un vélo. Le narrateur qui est bien souvent un vendeur de bonbons, attire le public grâce à deux plaquettes de bois qu’il fait claquer l’une contre l’autre.